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La pollution lumineuse commence à régresser.

Bonne nouvelle pour la biodiversité et les astronomes amateurs, il semblerait que le fléau de la pollution lumineuse ait amorcé une sensible baisse. Explication : la crise énergétique et les nouvelles réglementations qui encadrent les publicités lumineuses.

Selon une association d’astronomes amateurs les conditions d’observations du ciel sont en train de s’améliorer de nombreuses municipalités ayant pris la décision de réduire ou d’éteindre les éclairages publics vers 2 heures du matin.



Il faut rappeler à quel point l’éclairage nocturne impacte la vie des animaux. Les chauves-souris et les rongeurs voient ainsi leurs déplacements réduits tandis que les insectes volants et les oiseaux migrateurs sont désorientés. Autre exemple significatif celui des crapauds qui ne chantent plus la nuit et, à l’inverse, des oiseaux qui chantent la nuit à cause de la lumière artificielle. On a pu vérifier également une baisse de la reproduction animale. Quant aux papillons de nuit ils sont souvent piégés autour des lampadaires et périssent d’épuisement ou de brûlures.

Afin de remédier à ces problèmes il suffit d’adapter l’éclairage après avoir procéder à un état des lieux sur les parcs d’éclairage et les usages associés.


Les solutions passent par les 4 VENTS.


L’étude la pollution lumineuse est l’une des spécialités des 4 VENTS. Nos missions aériennes de nuit permettent de répertorier les points lumineux et de les cartographier avec une grande précision. Nos bilans sont l’occasion de réfléchir à la cohérence entre l’éclairage et les besoins réels mais aussi d’adapter le positionnement des points lumineux en fonction de la densité de population. Ils présentent également l’avantage de pouvoir planifier plus efficacement l’éclairage dans le temps et d’agir sur les caractéristiques des luminaires (spectre, hauteur…)

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