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Thomas PESQUET : ce que vous ne savez peut-être pas

En tant que spécialiste du travail aérien nous avons une grande admiration pour Thomas PESQUET. Derrière ses missions spatiales hors du commun et ses entraînements extrêmes se cache un être d’une incroyable simplicité. Il est d’ailleurs le premier spationaute francophone à partager ses formidables aventures avec le grand public.

Ses interviews, auxquelles il se prête avec beaucoup de modestie, révèlent un personnage aux multiples facettes.

Qu’aurait-il fait s’il n’avait pas été astronaute ? Probablement basketteur, ce sport étant sa véritable passion. Au cours de ses premières années d’ingénieur il s’accordait toujours quelques minutes, dès son arrivée au bureau, pour jeter un coup d’œil sur les feuilles de match et le Top 10 des meilleures performances de la nuit, habitude qu’il avait également à bord de la station spatiale internationale. Aux USA, dès que les conditions sanitaires le permettent, il va assister aux matchs.

Thomas PESQUET est aussi un fin gourmet. Avant ses départs en mission on le questionne sur ses goûts préférés et on lui fait tout goûter. Il les transmet à des chefs qui lui concoctent ensuite des plats personnalisés. Il avoue ainsi un petit faible pour la langue de bœuf qui lui rappelle son enfance, le poulet au vin jaune et aux morilles et le pain d’épice à la vanille.

La photographie est son autre passion. Il l’exerce d’ailleurs dans l’espace en capturant des milliers et des milliers de prises de vues.

Ce qu’on ne sait pas toujours c’est à quel point ses voyages dans l’espace transforment son corps. Son cœur, beaucoup moins sollicité est ramené à celui d’une personne âgée ou d’un sédentaire et sa colonne vertébrale grandit de plusieurs centimètres. Heureusement, très peu de temps après l’atterrissage le spationaute retrouve sa condition physique.

On imagine l’intensité des entraînements nécessaire à de tels exploits (parfois jusqu’à 7 ans !). Thomas PESQUET a même participé à des stages de survie en pleine nature. On ne sait jamais, la navette pourrait atterrir au mauvais endroit et dans des conditions météo extrêmes.

Mais qu’est-ce qui pourrait pousser un spationaute à renoncer à des efforts d’une telle ampleur. Rien, quand on est habité par le rêve d’aller sur Mars !


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